Des blogs de béton et de verre
des blogs de brique rouges qui flambent le soir
des rues entre les blogs qui filent dans le noir.
C'est ma ville virtuelle, entre blogs de pierre
et empilement de mots, phrases poétiques
phrases inutiles ou vides de sens , parcourue par des vents de folie.
La toile est brouillée , la misère est à nos pieds sur les trottoirs, les murs
des bourgeois s'éclairent sur la chaleur et la joie, aucun regard pour le monde d'en bas.
On va à vêpres sans soucis pour ceux qui pourrissent dans des blogs d'ennui, suintants la
crasse et la violence.catholiques avant tout ils sont leurs pauvres labellisés .
Et moi je marche dans ma tête,dans une solitude d'écriture, je ne fais pas de vagues ,pas de
buz, je ne rivalise pas avec Nabilla , je me contente d'être moi.